Entrées par Charles-Antoine d'HOOP

Markethings lance l’offre d’essai gratuit sur sa plateforme

Markethings lance l’offre d’essai gratuit sur sa plateforme

La prospection commerciale et l’analyse de marchés ont été les activités parmi les plus touchées par la pandémie et la sortie de crise qui s’esquisse appelle à la mise en place de nouveaux outils. Pour répondre à ces besoins d’adaptation et faire connaître sa technologie au plus grand nombre, Markethings propose une offre d’essai gratuite.

Malgré des incertitudes encore bien présentes, la période qui s’ouvre se caractérise par l’envie de relancer la machine et d’investir, mais repartir comme avant s’avère compliqué. La pandémie a modifié en profondeur certains marchés et a bousculé des pratiques bien ancrées, en premier lieu les phases de prospection commerciale et d’analyse de marché.

Pour répondre à ces besoins d’adaptation, Markethings propose sa technologie au plus grand nombre et a développé un parcours de ciblage et d’analyse de marché en ligne, désormais accessible en test gratuitement.

Pour rappel, Markethings met à disposition sa plateforme de recherche d’entreprises qui fait converger deux univers distincts : les données issues des bases légales et financières officielles et les informations provenant des sites web des entreprises grâce à son propre moteur de recherche B2B. Effet immédiat : des résultats plus rapides, plus précis et… un budget mieux maîtrisé.

Pour présenter et faire connaître cette innovation majeure, Markethings propose une offre d’essai gratuite (sans CB) qui vous permettra d’accéder à sa plateforme pendant 7 jours. Est inclus l’accès à tous nos services (ciblage, analyse de marché et enrichissement de CRM) et le téléchargement d’extraits de fichiers pour vous permettre de réaliser vos propres recherches et… vous faire votre propre opinion sur le bénéfice et la simplicité de son utilisation.

Intéressé.e ? Rendez-vous sur la page offre gratuite. On vous en dira plus !

Retrouvez tous nos articles

Le ciblage commercial post COVID à l’heure du digital

nuage-de-mots_2021-08-30

Le ciblage commercial post COVID à l’heure du digital

La crise sanitaire s’est révélée être un déclencheur de transformation numérique nettement plus puissant que tous les discours tenus jusqu’à présent. Le commercial ne déroge pas à la règle. Face à des habitudes bien ancrées, les entreprises sont obligées de s’adapter pour maintenir leurs ventes/ leur niveau d’activité dans un contexte, où les visios remplacent les rencontres physiques et les budgets sont plus contraints.

Là où les outils traditionnels se contentent d’exploiter les informations issues des bases légales, le digital apporte des solutions plus innovantes, marquées par un gain de précision et de temps. 

Toute personne ayant réalisé une prospection à partir de codes Naf saura que les résultats sont bien incomplets. D’où l’intérêt des recherches sur les sites internet des entreprises via les moteurs de recherche traditionnels. Mais c’est un travail qui reste chronophage avec une qualité de résultats perturbés par les annonces publicitaires et le référencement naturel des sites.

Pour répondre à cette difficulté rencontrée par les directions marketing et commerciales, Markethings, startup française spécialisée dans le Big Data B2B, primée par Bpifrance, a développé son propre moteur de recherche qui apporte deux services clefs :

  • l’exploration de 4 millions de noms de domaine permettant l’extraction de mots-clefs afin de cibler les entreprises à partir de leur activité réelle,
  • l’identification de l’entreprise via son site web ce qui permet de combiner la recherche mots-clefs avec les données légales et financières.

Vous voulez vérifier si leurs solutions peuvent vous faire gagner du temps ?

Rendez-vous sur https://www.markethings.io/offres pour tester l’outil gratuitement !

et visionnez nos vidéos d’analyse de marché sur notre chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCaHyF9Ucep07QCtKD2vhfHQ

Retrouvez tous nos articles

La sémantique ? Un avantage concurrentiel !

chris-knight-458508-unsplash

La sémantique ? Un avantage
concurrentiel !

Analyser son environnement concurrentiel, identifier des clients potentiels, trouver son prochain employeur… Le point commun à ces actions ? Le ciblage, une activité souvent chronophage à la fiabilité parfois relative à cause de données imprécises ou pas forcément à jour. Comment l’optimiser ? Comment gagner en temps et en précision, à l’heure où les budgets post-Covid sont encore plus contraints ?

L’origine du problème : l’imprécision du code Naf

Toutes les entreprises se voient attribuer un code Naf à leur création. C’est ce numéro qui permet aux commerciaux, marketeurs et autres analystes d’identifier facilement des sociétés en fonction de leur activité. Pour autant, s’il rend bien des services, son imprécision est réelle pour au moins cinq raisons :

  • un changement d’activité de l’entreprise sans actualisation du code ;
  • des codes aux libellés particulièrement brumeux, à l’image du code 7022Z qui regroupe l’ensemble des cabinets de conseil sans distinction (organisation, RH, stratégie, etc.). Cette incapacité à identifier l’activité réelle s’exprime, a fortiori, à l’intérieur même d’une catégorie. Il est impossible de faire la distinction entre un cabinet de recrutement et un cabinet d’outplacement :
  • l’existence de codes comportant la mention n.c.a. pour « non classé par ailleurs » permettant de classer dans un secteur l’ensemble des activités non répertoriées ;
  • l’inexistence de certains codes renvoyant à des activités trop spécifiques – comme les avocats, intégrés dans un sur-ensemble « activités juridiques » incluant les notaires et les huissiers – ou trop récentes – comme les entreprises actives dans l’e-santé, l’e-sport ou le bio. Autant de termes ne figurant pas parmi les 732 codes Naf ;
  • enfin, l’attribution par l’Insee d’un code Naf non demandé lors de la création de l’entreprise crée également une dernière source de confusion.

Des conséquences potentiellement négatives

Des résultats aléatoires, une activité chronophage, parfois démotivante pour les équipes. Le risque de passer à côté de ce que l’on cherche est loin d’être négligeable alors que cette activité est plus que jamais stratégique dans un contexte de budget bien souvent contraint.

Comment réduire cette sensation de loterie
et reprendre la main sur ses recherches ?

Si démarrer une recherche à partir du code Naf reste utile, la compléter par un travail sémantique grâce à un moteur de recherche B2B est un moyen de se créer un avantage concurrentiel et s’assurer d’identifier précisément l’activité ciblée.

Nulle magie dans tout cela, mais la « simple » utilisation d’algorithmes permettant d’identifier des mots-clefs présents sur les sites Internet des entreprises présente deux atouts immédiats :

  • d’une part, compléter une recherche à partir d’un code Naf c’est augmenter mécaniquement son marché potentiel ;
  • d’autre part, en l’absence de code Naf c’est tout simplement se donner la possibilité de continuer à prospecter et à identifier des concurrents, prospects, fournisseurs…

Soit, mais quelle différence avec les moteurs classiques ?

D’abord, les réponses apportées ne dépendent pas d’une régie publicitaire, mais sont 100% neutres et répondent exclusivement aux critères de recherches définis par les utilisateurs. Ensuite, c’est la possibilité totalement innovante de croiser les informations issues des sites web AVEC les données provenant des bases légales et financières officielles.

Pour quels bénéfices ? Des résultats plus précis et moins nombreux, car plus sélectifs. Avec, en prime, une activité moins chronophage et un gain de temps qui permettra aux équipes de se réorienter vers des tâches à plus forte valeur ajoutée.

Intéressé·e ? La plateforme en vidéo, cliquez ici.

Retrouvez tous nos articles

La segmentation de marché, l’outil gratuit en ligne de Markethings

stephen-dawson-qwtCeJ5cLYs-unsplash

La segmentation de marché, l’outil gratuit en ligne pour mesurer la taille d’un marché

Quelles sont les raisons qui nous font choisir un marché plutôt qu’un autre ? Bien souvent, les motivations s’expliquent par l’expérience passée ou par la volonté de dupliquer une opération réussie. Il n’est pas rare d’ailleurs que nos biais cognitifs nous orientent vers des choix minorant les inconvénients et survalorisant les avantages, car il est toujours plus simple et rassurant de reproduire ce que l’on connaît.

Si les raisons sont multiples, le constat est le même : in fine la connaissance d’un marché, une phase pourtant cruciale, fait rarement l’objet d’une analyse approfondie. Une situation que nous avons régulièrement observée dans le cadre de nos échanges avec nos clients peu importe la taille de l’entreprise ou leur activité.

Assez naturellement l’idée à germer de proposer aux entreprises un outil pour leur permettre d’obtenir une première estimation de la taille d’un marché via un comptage d’entreprises. Ce service est désormais disponible gratuitement sur le site de Markethings. En choisissant jusqu’à 10 secteurs et 12 départements, vous recevez dans la minute un fichier Excel constitué d’un comptage d’entreprises réparties en plus des secteurs et départements, en tranche d’effectifs et catégorie juridique.

Démonstration par l’exemple avec la sélection des départements d’Île-de-France et les secteurs de l’agroalimentaire (alimentaires et boissons), les industries du textile, habillement et cuir et chaussures.

Capture d’écran Markethings, source : bases Open Data, traitement Markethings. Lecture : le nombre d’entreprises de type société commerciale dans la fabrication de textiles avec un effectif de 6 à 9 salariés situées à Paris est de 5.

À partir de cette présentation brute des données, vous pouvez en un tour de main réaliser un Tableau Croisé Dynamique (un tuto est disponible ici) qui vous permettra de croiser les données et vous offrir une vision plus claire de votre marché potentiel.

En reprenant le cas ci-dessus, voici le résultat en optant pour une répartition département / secteur…

… ou une répartition effectifs / secteur

Vous avez besoin d’estimer des marchés ? Accédez à notre service Segmentation de marché en cliquant ici.

Retrouvez tous nos articles

Rien ne sert de courir, il faut repartir à point

Rien ne sert de courir, il faut repartir à point

Alors qu’une accalmie se dessine dans la propagation du virus, la gestion de l’après-Covid-19 ne fait que commencer. La violence du choc laissera des traces, nous oblige et nous met face à des choix. Allons-nous vers un monde plus dur et inégalitaire ? Est-ce le momentum tant attendu pour renverser la table et imposer de nouvelles règles de jeu ? La France n’a jamais été avare de tribuns nous expliquant doctement la fin de l’économie et de la mondialisation. Mais en attendant, les entreprises vont devoir faire face à une nouvelle réalité.

Nous avons tous observé l’incroyable vulnérabilité de nos économies et à quel point l’externalisation (et la recherche du profit maximum) pouvaient aller à l’encontre de l’intérêt commun. Des totems économiques qu’on pensait immuables se sont effondrés en un tour de main. Le digital a vécu son baptême du feu avec une accélération prodigieuse de ses pratiques. De nouvelles habitudes de consommation, de travail, d’usage d’internet se sont imposées. Un retour en arrière apparaît d’autant peu probable que le redémarrage économique impose d’autres formes d’organisation.

En effet, dirigeants et managers vont devoir s’interroger sur leur mode de fonctionnement, leur stratégie, redéfinir leurs priorités en termes de compétences humaines et techniques, c’est-à-dire savoir s’entourer, donner du sens au travail de leurs équipes, définir ce qui doit être maîtrisé, délégué ou abandonné…

Tout l’enjeu sera de concilier cette nouvelle réalité et la nécessaire rentabilité inhérente à toute activité économique. Il y a peu de doutes que les équipes commerciale ou marketing ne soient pas mises à contribution au cours des prochains mois. Plus que jamais aller chercher de nouveaux clients, comprendre son environnement concurrentiel et les changements en cours se révéleront déterminants pour nombre d’entreprises sauvées par des aides d’Etat qu’il va falloir rembourser.

L’une des difficultés qui nous attend sera de conduire ces objectifs classiques en imaginant de nouvelles stratégies d’entreprises, c’est-à-dire en intégrant les critiques qui ont fusées lors de la pandémie (production locale, maintien d’activités stratégiques clefs, respect de l’environnement, etc.).

C’est dans ce contexte que le digital, qui doit rester un moyen et non une fin, a un rôle à jouer dans ce qu’il sait faire de mieux : croiser et gérer un niveau de data impensable pour un être humain en un temps record… et lui donner les éléments pour mener des réflexions innovantes et les appliquer.

Si ce défi aura été brillamment relevé, alors l’on pourra se dire que quelque chose de positif sera sortie de cette crise.

Retrouvez tous nos articles